La deuxième partie de cette activité permet de se projeter dans l’année qui arrive pour que chaque décision prise soit motivée par un objectif plus grand. On dit qu’on surestime ce que l’on peut faire en une journée, mais qu’on sous-estime ce que l’on peut faire en une année.
Cette activité permet d’aller puiser dans les désirs des participant·e·s, de cultiver leurs envies et de projeter une intention sur l’année ou la période qui arrive.
» L’animation était simple à mener. Nous avions fait le choix de fusionner deux parties de l’atelier en une. Finalement, nous le conseillons en deux séances distinctes. Animer ces ateliers nécessite un temps de travail préalable d’adaptation selon le contexte, les participants, la taille du groupe, etc…
Les retours des participant.e.s étaient positifs. Malgré la difficulté pour certain.e.s à se projeter, ils.elles ont formulé l’intérêt de ce moment de « pause » et de réflexion pour soi, à partager.
Un point de vigilance à mettre en avant quant à la posture à adopter dans l’animation. Cela n’est pas donné à tout le monde, car il implique d’accueillir les émotions possibles et de faire preuve d’écoute active. Du fait des sujets intimes, être deux animateurs nous semble important, dont une personne de confiance qui connaît bien les participant.e.s. »
Juliette
Attention, cet atelier fait appel à la mémoire qui peut faire défaut chez certaines personnes. L’accompagner avec douceur et féliciter chaque élément qui émerge de l’année passée.
Fiches vierges à imprimer en A3 si les personnes rencontrent des difficultés à écrire, multipliées par le nombre de participant·e·s.
